Il s'agit de morts-vivants créés "naturellement" par les Autres, les Marcheurs Blancs, à partir des créatures et de ceux qu'ils ont tués. Se distinguant par leurs yeux d'un bleu irréel ainsi que par leurs mains noires et froides, ils ne subissent plus les effets de la décomposition et peuvent subir de grands dommages avant de mourir définitivement. La décapitation ou la perte d'un membre ne les arrêtent pas et chaque partie séparée peut agir indépendamment du corps jusqu'à sa destruction. Ils ne pas besoin de manger ou boire et peuvent rester ensevelis durant de longues périodes. Le feu est le seul moyen efficace de les abattre. Leur lenteur et leur manque d'agilité sont palliées par leur capacité à décapiter un homme à mains nues. Ils ne sont actifs que la nuit, ne sont plus capables de s'exprimer dans un langage connu et sont attirés par le sang et les êtres vivants.

Il s'agit d'une créature légendaire des mers qui possède un corps mi-femme moi-poisson. Dans la religion du dieu Noyé - dieu principal de la religion des Fer-nés -, les sirènes seraient ses servantes. Les Fer-nés ayant vécu selon les préceptes de l'Antique Voie seraient censés festoyer à jamais dans les demeures liquides du dieu, servis par des sirènes

Originaire de l'Orient, elle serait apparentée aux coléoptères. Semblable à un scarabée noir et vert à "la face noire et maligne, quasi humaine", son abdomen est pourvu d'une queue de scorpion au fard venimeux. Elle est présente dans les îles de la mer de Jade. Parfois utilisée à cause de la virulence de son venin, ce dernier gagne le coeur par voie sanguine toute en provocant la nécrose des tissus infectés. La mort se fait donc par arrêt cardiaque sans possibilité de guérison. Elle semblerait faire l'objet d'un commerce à Essos.

Ces immenses créatures tétrapodes et volantes à l'apparence reptilienne ont le corps couvert d'écailles, des ailes membraneuses en guise de membres antérieurs et un souffle de feu dévastateur ("feu dragon" ou "dracarys" en haut valyrien). Au sol, bien qu'ils se déplacent de manière pataude sur leurs membres inférieurs, ils gardent tout de même une certaine rapidité. Outre leur longue queue serpentine, ils possèdent un cou mince et allongé surmonté d'une tête avec des cornes, la colonne vertébrale est parcourue par une arête épineuse. Les écailles, généralement métallisées, possèdent des couleurs vives. En cas de blessure, leur sang fume. Leurs os sont noirs et sont utilisés dans l'artisanat, notamment l'orfèvrerie et l'archerie. Les flammes qu'ils crachent rappellent la couleur de leurs écailles. Les yeux sont leur unique point sensible car seul moyen d'atteindre le cerveau.
Les œufs des dragons ressemblent à de grands œufs de pierre dense, à la surface écailleuse. Le processus qui permet l'éclosion des jeunes dragons est inconnu sauf des Targaryen, les seuls à posséder des dragons : déposer un œuf de dragon dans le berceau d'un enfant de sang Targaryen suffirait à donner naissance à un dragon. L'apparence de l’œuf et celle du dragon qui en sort sont liées.
Il est difficile de déterminer le sexe d'un dragon, surtout lorsqu'il est jeune.
Le rythme de croissance d'un dragon semble lent et ne pas connaître de fin. Toutefois, ses conditions de vie (captivité, privation de nourriture...) pourraient ralentir voir stopper sa croissance. Sa durée de vie exacte est inconnue.
À la naissance, le dragons est de la taille d'un chat. Au bout de 4 lunes, il peut voleter sur environ six mètres. À lunes, il vole sans difficulté sur plusieurs lieues et peut atteindre la taille d'un petit chien. Au bout d'un an et demi, son envergure peut atteindre près de 20 pieds et supporter en vol le poids d'une femme habillée légèrement. Il serait possible de monter un dragon entraîné peu avant qu'il atteigne l'âge de 5 ans.

L'espèce est rare car presque éteinte. Endémique des régions froides et boisées du Nord, on ne les trouverait plus qu'au delà du Mur. Bien que faisant apparemment partie de  la même espèce que le loup ordinaire, il lui est morphologiquement différent ainsi que plus gros, plus puissant et plus intelligent. Ils peuvent cependant avoir des petits. Si un loup géant intègre une meute de loups, il occupera la place de dominant. À environ un an et demi, il serait capable de mettre en fuite un limier ou de vaincre un loup dominant. Les loups géants issue d'une même fratrie ressentent la présence de leurs frères et sœurs dans un rayon de quelques dizaines de lieues. Au-delà, le contact reste possible mais de plus en plus épisodique au fur et à mesure que la distance augmente. En dépit de leur grande taille extraordinaire et de leurs pouvoirs mentaux particuliers, les loups géants ne sont pas des créatures surnaturelles et craignent les Autres. Lorsqu'un loup géant est lié à un être humain, il peut sentir les dangers qui le menace. Il manifeste sa crainte en hurlant ou en se montrant agressif envers les ennemis potentiels de son maître. Cette relation peut parfois être si fusionnelle que le premier peut en venir à considérer qu'il ne fait qu'un avec l'animal.

Cet oiseau est tout simplement le cœur du système de communication de la noblesse des Sept Couronnes. Bien que les pigeons peuvent également être éduqués à transmettre des messages, les corbeaux les surpassent en force, audace et intelligence. La corbellerie, l'art d'élever les corbeaux pour cette tâche, est l'apanage des mestres de Villevieille, dans le Bief. Toutes les demeures seigneuriales et une majorité des forteresses mineures entretiennent une roukerie, un espace dédié aux corbeaux messagers où ils sont élevés et nourris par un mestre. Les corbeaux ne sont capables de s'orienter que vers des points fixes qu'ils ont appris à trouver. Ils ne peuvent donc pas joindre des voyageurs en mouvement.

Plus grand et plus intelligent que le corbeau commun, le corbeau blanc représente une espèce bien distincte. Les yeux sont d'un noir de jais. Ces oiseaux sont réputés pour son inimitié avec leur cousin. Ils sont exclusivement utilisés par la Citadelle pour annoncer un changement de saison. Ils seraient capables de répéter quelques mots.